La Rébellion Créative contre l’IA : Des Artistes en Guerre contre l’Utilisation Non Consentie de leur Œuvre dans l’Intelligence Artificielle Générative

Una oficina con paredes cubiertas de papel, evocando un paisaje urbano ocupado, en un estilo romántico académico, reminiscente del trabajo de los artistas Atelier Olschinsky, Norman Cornish y Patricia Piccinini.

L’Intelligence Artificielle générative et son impact sur le monde de l’art

L’Intelligence Artificielle (IA) générative a provoqué une révolution dans le domaine de l’art et de l’écriture, permettant la création d’œuvres d’art et de textes à partir de données préexistantes. Cependant, cette innovation technologique a suscité des inquiétudes concernant l’utilisation de données personnelles et créatives sans le consentement des artistes et écrivains concernés.

Les artistes et les écrivains revendiquent leur droit de décider

Des artistes et des écrivains du monde entier se battent pour avoir leur mot à dire sur la façon dont leur travail est utilisé dans l’IA. Des demandes et des protestations publiques ont émergé contre les modèles d’IA qui intègrent leur art sans leur permission, ce qui a poussé les entreprises à répondre à ces préoccupations.

Des entreprises comme OpenAI et Meta ont mis en place des programmes d’«opt-out» pour permettre aux personnes de retirer leur travail des futurs modèles. OpenAI, par exemple, a introduit ce système dans son générateur d’images à texte, Dall-E. Meta a également suivi une voie similaire, permettant les demandes pour supprimer les données personnelles utilisées dans ses modèles d’IA générative.

Problèmes et critiques du système «opt-out»

Cependant, ces programmes ne sont pas exempts de problèmes. Dans le cas de Meta, il y a eu des malentendus sur le fonctionnement réel de son programme «opt-out». Selon les rapports, il n’existe pas de véritable moyen fonctionnel pour choisir de ne pas participer à la formation d’IA générative de Meta.

Les artistes ont exprimé leur frustration face au processus de demande pour supprimer les données. L’illustratrice Mignon Zakuga a qualifié le processus de «horrible», tandis que l’artiste numérique et photographe roumaine Mihaela Voicu l’a considéré comme «une mauvaise blague». L’artiste conceptuelle Bethany Berg a eu l’impression que ce n’était qu’une fausse stratégie de relations publiques.

La position de Meta a été critiquée. L’entreprise exige des personnes qu’elles fournissent des preuves que leurs modèles ont été formés avec leur travail ou leurs données personnelles. Cependant, cela s’avère difficile pour les personnes, car Meta n’a pas révélé de détails spécifiques sur les données avec lesquelles elle a formé ses modèles.

En conclusion, bien que l’IA générative offre un monde de possibilités pour l’art et l’écriture, elle soulève également de sérieuses préoccupations concernant l’utilisation des données personnelles et créatives. Les entreprises doivent prendre des mesures pour garantir le respect des droits des artistes et des écrivains, et fournir un moyen clair et efficace pour que les personnes choisissent de ne pas participer à la formation de modèles d’IA.

Clara est créatrice et éditrice de contenus, avec une solide formation en sciences et une spécialisation en intelligence artificielle. Sa passion pour ce domaine en constante évolution l'a amenée à acquérir les connaissances nécessaires pour comprendre et communiquer les avancées les plus récentes dans ce domaine. Grâce à son expérience et à ses compétences en rédaction et édition de contenus, Clara est capable de transmettre de manière claire et efficace des concepts complexes liés à l'intelligence artificielle et ainsi les rendre accessibles à tous types de publics.

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